Depuis sa création en 1945, la Société de recherche sur le cancer a attribué plus de 326 millions de dollars aux projets de recherche les plus prometteurs au Canada. Plus de 3500 projets ont ainsi été financés dans plus de 90 institutions canadiennes pour faire avancer la prévention, la détection et le traitement de tous les types de cancers. Le tout a été rendu possible grâce à la générosité de nos donateurs.
Historiquement, la Société a commencé à collecter des fonds par le biais de ses unités. Chaque membre de la Société devait payer une cotisation annuelle pour faire partie de la Société et d’une unité (constituée principalement de femmes dévouées dans les années 40 et 50). Ces unités organisaient des collectes de fonds, de la vente de gâteaux aux défilés de mode, afin de soutenir la recherche sur le cancer.
Outre le travail acharné de ces femmes, la Société a également pu compter sur de nombreuses entreprises partenaires et commanditaires, dont son tout premier partenaire : la Banque de Montréal.
La Banque de Montréal, plus connue sous le nom de BMO, est l’une des entreprises partenaires de la Société depuis 1948. Elle a contribué à financer plus de 3 millions de dollars pour la recherche sur le cancer grâce aux commandites d’événements et à la carte Mastercard BMO de la Société de recherche sur le cancer, une initiative mise en place depuis 1998.
« Prévenir le cancer au lieu de le traiter est une chose phénoménale », affirme Claude Gagnon, président de BMO Groupe financier au Québec.
« Nous siégeons au sein du conseil d’administration de la Société de recherche sur le cancer et nous apportons d’importantes contributions financières depuis longtemps, car la recherche est importante pour nous. L’une des priorités de BMO est de contribuer à créer une société plus ouverte et plus inclusive qui améliore la vie des gens. Une façon essentielle d’y parvenir est d’aider les gens à vivre plus heureux et en meilleure santé. »
En tant que première banque canadienne, BMO est à l’avant-garde des changements critiques de notre société depuis 1817. Pour l’organisation, investir dans les soins de santé peut aider un maximum de personnes à vivre pleinement leur vie, une notion qui résonne dans l’expérience personnelle de Claude Gagnon.
« Ma femme est décédée en 2016 après une lutte de plus de 30 ans contre le cancer du sein. Certains de mes enfants sont également porteurs du gène BRCA, et c’est en grande partie ce qui m’a fait prendre conscience que, malgré les progrès scientifiques dont nous disposons aujourd’hui, les médicaments ne peuvent parfois pas faire grand-chose. Les nouvelles technologies nous ont permis de progresser, mais il reste du chemin à parcourir. Il y a encore trop de jeunes qui meurent du cancer. »
La clé pour déjouer cette maladie se trouve dans la recherche.
L’évolution de nos connaissances et de notre compréhension du cancer s’accélère à un rythme sans précédent. Nous en apprenons davantage sur les causes et nous comprenons pourquoi les mêmes cancers ont des effets différents selon les individus et pourquoi des traitements spécifiques sont efficaces pour certains et pas pour d’autres.
« Nous sommes aujourd’hui en mesure de prédire si une personne est susceptible ou non de développer certains cancers et certaines maladies sur la base de ses gènes. Nous pouvons suivre ces schémas et ces informations pour mieux comprendre et, dans certains cas, prévenir le développement d’une maladie. Nous avons besoin de la recherche pour faire avancer les choses le plus rapidement possible. Lorsque nous trouvons des réponses, nous devons continuer à poser des questions et à percer les mystères entourant le cancer. »
Pour BMO, une façon de continuer à déjouer le cancer est de financer les générations futures de scientifiques comme Liis Uuskula-Remaind, Elena Kuzmin et Amélie Fradet-Turcotte.
« Dans les industries scientifiques en particulier, il existe une disparité bien connue entre les sexes qui se réduit lentement mais sûrement. Pour BMO, il est important d’aider à créer et à contribuer à l’égalité des chances pour tous les individus. Par conséquent, lorsque nous constatons un déséquilibre dans un domaine spécifique, notre premier réflexe est d’éliminer les obstacles et de permettre à chacun et chacune de réaliser tout son potentiel. »
La recherche sur le cancer contribuera à offrir un meilleur avenir à nos proches et à tous ceux qui nous entourent.
Si l’engagement de Claude et de BMO vous a inspiré, pensez à faire un don aujourd’hui.